Le succès de Jamii Bora

Il est indéniable que l’organisme du Kenya appelé Jamii Bora Trust est un réel et grand succès des Temps modernes dans un continent ou la pauvreté est un mode de vie, ou plutôt de survie. Madame Ingrid Munro, ou Maman Ingrid comme on l’appelle sur le terrain, à su mener sa barque depuis 1999, pour faire de ce fournisseur de microcrédit, un succès retentissant.

Lors du Sommet global du microcrédit à Halifax, au Canada, en novembre 2006, les congressistes ont été charmés par ses réalisations et celles de Jamii Bora. On a même modifié le programme prévu pour le banquet de clôture en lui demandant de s’adresser à ces derniers et expliquer ce qu’elle avait expliqué durant le week-end en atelier. Voici cette conférence avec des sous-titres en plusieurs langues.

Présentation de Jamii Bora par Ingrid Munro

Plus de 1 milliard d’humains survivent avec moins d’un dollar (US) par jour, une tragédie bouleversante pour des familles entières aux prises avec une pauvreté extrême tenace qui dure et perdure. Le microcrédit est indéniablement un élément de solution, mais encore faut-il sensibiliser les emprunteurs à la possibilité de s’en sortir grâce à cet outil de prédilection.

Le microcrédit offre aux plus pauvres et à leur famille de se sortir de cette pauvreté : ce sont de tout petits prêts qui leur permettent de renforcer leur petite entreprise ou d’en amorcer une nouvelle, ce en toute dignité

Mme Ingrid Munro qui fonda Jamii Bora en 1999, a su sortir des milliers d’emprunteurs parmi les plus pauvres de puis ce temps. En 2007, Jamii Bora comptait en fin d’année déjà plus de 170 000 clients.

L’expertise de Jamii Bora est maintenant exportée dans quelques pays voisins, dont la République démocratique du Congo depuis juin 2007. Dinu Dilenga a ainsi vu le jour sous la responsabilité du Révérend Tambwe Musangelu, un partenaire de la première heure de Mme Munro, et avec le soutien total et sans réserve de cette dernière. Diku Dilenga est maintenant un organisme dûment enregistré en RDC. Diku Dilenga Canada travaille présentement à obtenir également cette accréditation légale.

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Jamii Bora, notre modèle

Jamii Bora Trust est un solide associé et partenaire des projets de Diku Dilenga. Le révérendTambwe Musangelu, fondateur et représentant légal de Diku Dilenga, a travaillé aux côtés d’Ingrid Munro aux débuts de Jamii Bora au Kenya. Après une phase de démarrage lente mais prudente, partie en 1999 avec 50 femmes mendiantes dans un bidonville de Nairobi, Jamii Bora compte 170.000 membres fin 2007 !

Voir enfin la lettre que Ingrid Munro, la fondatrice de Jamii Bora, écrivait récemment sur la ville nouvellement construite de Kaputiei près de Niarobi qui permettra à Jamii Bora de physiquement sortir les membres de Jamii Bora des bidons-villes de Nairobi, parmi les plus grands au monde.

Dear Sam and friends in the Microcredit Summit

By Saturday 4 August, 2007 Neighbourhood 5 in our new Kaputiei town was an impressive sight. 75 houses are already roofed with our red roofing tiles. Out of those 75 a total of 40 houses are now having the floors done and production of doors and windows has started on site. 90 houses are ready for roofing and the roof trusses are already being produced on site. The remaining 81 houses are ready for the ringbeam to be produced. Thus whichever road you walk in neighbourhood 5 you now see all the 246 houses and you can imagine what the entire neighbourhood will look like when the families will move in at the end of August.

The big earthmoving machines have started the work to excavate the soil for the roads and the house foundations in neighbourhood 6 which is the second neighbourhood we will construct. The mason teams will move to neighbourhood 6 to start house construction from Monday 13 August. In the meantime they are assisting with the construction of the opening ponds of the constructed wetland. They will construct the screening chamber which is 6 m by 25 m, the balancing pond which is 20 m by 60 m and the two Gravel Hydroponic Beds that both are 36 m by 144 m. These are all works that involve concrete walls and floors.

Our project is generating a lot of excitement among our members and in the local community. Even many of the old enemies have changed their minds and have become positive supporters.

I am happy to send you some photos from Kaputiei taken by Gabriel Kadidi on 7 August 2007. Attached is also a list of the photos with explanatory text. Kadidi is our information officer who was born and raised in the Kibera slum.

Warm regards
Ingrid Munro

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Votre aide pour faire la différence

En l’an 2000, les nations du monde se sont fixé une série d’objectifs destinés à réduire radicalement l’extrême pauvreté. En 2006, l’aide mondiale dépassait à peine 103 milliards soit le même niveau d’aide qu’en 1993 en terme de PNB des pays riches. Ce montant équivaut à 10 % des dépenses militaires globales.

Pour en finir avec la pauvreté, il faudrait 175 milliards $ de plus par année, selon l’économiste Jeffrey Sachs dans son article du Time magazine « Sharing the Wealth » paru récemment. Il n’est pas le seul à penser cela. En effet, lors du consensus de Copenhague, une table ronde des principaux économistes du monde a réfléchi à la question suivante : « Par quoi commencer? » La réponse fut de combattre le VIH/sida, distribuer des micronutriments pour en finir avec la malnutrition et la faim, libéraliser le commerce et combattre le paludisme.

Bill et Mélinda Gates ont ouvert la voie en consacrant 30 milliards $ de leur fondation pour soutenir des programmes en santé publique mondiale, agriculture, eau, etc. Jusqu’à maintenant, seulement 5 % du financement du Fonds mondial provient du secteur privé. Les gouvernements bailleurs de fonds, surtout les pays du G8, doivent continuer de verser leur part, mais il faut de nouveaux investisseurs.

Le temps est venu de redéfinir la mondialisation pas seulement en terme de marché, mais aussi en terme de responsabilité au niveau mondial. Une hausse des contributions privées allégerait les souffrances des plus pauvres et sauver des millions de vies. Une contribution financière de votre part, si petite soit-elle, nous aiderait à concrétiser notre avancé sur la pauvreté extrême en mettant sur pied plusieurs autres projets de microcrédit qui pour le moment attendent toujours. (Voir la liste des projets en cours ainsi que ceux que nous souhaitons mettre de l’avant sous peu, dans la section ACTION de ce site)

Si vous souhaitez nous aider, faites parvenir votre don et son formulaire l’adresse suivante:

Diku Dilenga
À l’attention de Yvon Dupuis
137, boulevard Mont Bleu
Gatineau (Qc) J8Z 1K2

Veuillez noter que pour l’instant, nous ne pouvons vous faire parvenir un reçu qui servirait à un remboursement d’impôts. Nous travaillons à obtenir cette faculté d’émettre un tel document à nos donateurs, ce, des autorités compétentes en la matière et vous tiendrons au courant de tout développement à ce chapitre. Un reçu vous sera tout de même fourni de façon électronique si possible ou via le courrier, mais en aucun cas, Revenu Canada ne reconnaîtra celui-ci comme déduction acceptable sur votre déclaration de revenus.

Votre don devra venir du cœur tout simplement.

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Comment nous aider ?

Nos bénévoles et nos partenaires nous viennent de la République démocratique du Congo (RDC) comme du Canada. Nous sommes toujours à la recherche de bénévoles, de donateurs ou d’associés de toute provenance, organismes comme individus, qui sont en mesure de nous aider à concrétiser nos projets. Vous pouvez être des nôtres de différentes façons :

  1. Aider bénévolement à partir de votre foyer, l’équipe de Diku Dilenga Canada, à appuyer la conception, le développement et la mise en oeuvre des projets sur le terrain. Si vous avez le goût et la capacité de faire de la traduction, du développement et de la gestion de projets, de la recherche de financement, etc., nous serons heureux de considérer votre candidature.
  2. Aider bénévolement sur le terrain à la réalisation et au succès des projets de microcrédit, nous sommes prêt à évaluer avec vous vos dispositions et compétences à nous aider.
  3. Aider en finançant selon votre bon coeur, nos projets dans leur ensemble. Voir section intitulée : pour appuyer financièrement notre action.
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Diku Dilenga en un mot

Diku Dilenga : S’appuyant sur l’expérience heureuse de Jamii Bora Trust et bénéficiant de l’appui à différents niveaux de ce partenaire solide, Diku Dilenga voit le jour en cette fin de 2007. Diku Dilenga est la traduction de « Jamii Bora » en langue locale Tchiluba, lui-même qui signifie « bonnes familles ».

Diku Dilenga Canada : Le partenaire canadien de Diku Dilenga est heureux de se présenter au public canadien et d’appuyer sans réserve Diku Dilenga local. Diku Dilenga (Canada) s’acquittera du mandat qui sera sien, d’abord et surtout en assurant le lien avec tout intervenant (individus comme organismes publics ou privés) qui souhaite collaborer, intervenir pour l’avancement de nos projets et nous aider financièrement ou autrement. Diku Dilenga (Canada) sera un partenaire de Diku Dilenga dans la quête d’aider les plus pauvres de la Terre à se sortir du joug de la pauvreté extrême, ainsi que les membres de leur famille. Il aidera Diku Dilenga à mettre sur pied différents projets et interventions de microfinance susceptibles d’aider les plus démunis dans un esprit de solidarité, de partage et dans le respect de l’humain et de son environnement.

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Seconde candidature d’école

L’école de l’Estran à Rimouski, dirigée par madame Suzanne Lévesque, est aussi intéressée à participer au projet de jumelage d’écoliers.

Nos documents de travail (la description du processus, un modèle de convention, un modèle de lettre aux parents, etc.) ont été envoyés par courrier électroniques à madame Lévesque pour qu’elle puisse les reviser.

Yvon Dupuis va s’assurer du suivi de ce contact et des formalités pour le démarrage de cette collaboration.

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Première candidature d’école

La direction de l’école internationale de Gatineau, l’école Mont-Bleu,  en la personne de madame Lynne Séguin accepte de présenter aux enfants de son école :

  • Les activités de Diku Dilenga ;
  • Les possibilités de jumelage avec des enfants congolais.

Le premier contact a été réalisé par Yvon Dupuis et le rév. Tambwe Munsangelu le 20 janvier 2007 à Gatineau.

Yvon Dupuis et Dom Derrien vont travailler pour formaliser le concept du jumelage, pour préparer une charte de collaboration entre Diku Dilenga et les institutions scolaires, ainsi qu’une lettre de présentation du projet aux parents.

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Présentation des services électroniques

Les services électroniques offerts aux membres de Diku Dilenga tombent dans deux catégories:

  1. Les services de communication : le courriel, l’agenda électronique, les documents en ligne, la messagerie instantannée, les communications vocales, etc. Ces services reposent sur l’offre gratuite Google Apps for Your Domain.
  2. Les services de publication sur le site Web pour la publication à l’attention des visiteurs occasionels, des donateurs et des volontaires potentiels, et des membres enregistrés. La publication du site Web est réalisée avec Joomla!, un logiciel libre, et l’hébergement est chez GoDaddy.

Pour ceux qui sont intéressés par une telle infrastructure pour leur site, contacter Dom à admin@diku-dilenga.org.

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Méthodogie du jumelage d’écoliers

Ici, il ne s’agit pas de théorie, mais de méthodologie empirique. Nous exposons un processus qui s’adapte aux difficultés rencontrées.

Recherche d’enfants congolais

Parce que les moyens de communication entre la République démocratique du Congo (RDC) et le Canada sont limités et dispendieux (Cf. section « Échanges de courriers » plus bas), le recrutement de candidats au jumelage se fait d’abord en RDC. Comme il est plus facile d’enrôler des enfants canadiens, nous ne souhaitons décevoir ces derniers parce que nous aurions du mal à leur trouver rapidement des correspondants congolais.

En RDC, les enfants sont approchés individuellement par les membres de Diku Dilenga. Les volontaires écrivent un petit mot les décrivant, et donnant de l’information sur leur lieu de vie et leurs aspirations. Les responsables prennent des photos de ces enfants pour illustrer leur fiche signalétique.

Recherche d’enfants canadiens

Les enfants canadiens sont approchés via leur institution scolaire, notamment pour que les professeurs puissent accéder à notre matériel éducatif.

Puisque les jumelages doivent se faire sur une base volontaire, les proposer sous forme parascolaire est peut-être l’approche la plus simple. Les membres impliqués de Diku Dilenga apportent des cartes géographiques, de grandes photographies, et des vidéos. Chaque séance peut se sub-diviser en une partie éducative et une partie avec la lecture des lettres reçues et l’écriture de lettres de réponses.

La motivation du jumelage est d’offrir un soutien (moral et possiblement matériel) aux enfants congolais, d’informer les enfants canadiens à la réalité africaine par le biais de la RDC, et aussi d’avoir du plaisir !

Pour la partie plaisir, nous aurons l’aide à la diaspora congolaise pour avoir de la nourriture et des recettes locales, pour avoir de la musique, voire des musiciens, avec des instruments traditionnels (tels des djembés ou des didjiridus).

Participation financière 

Note : les montants énoncés ci-dessous le sont à titre indicatif seulement ! Ils seront ajustés une fois que le programme aura complètement été évalué.

Dans le cadre de cette activité parascolaire, nous envisageons demander une contribution de 5 $ par séance pour aider à couvrir les frais d’expédition aller et retour des courriers et colis.

Lorsque le jumelage continue en dehors de ces activités parascolaires, les parents se voient demandé une contribution minimale de 100 $ par année, libre à eux d’offrir plus. Avec l’enregistrement de Diku Dilenga en tant qu’organisme de charité, nous pourrons émettre des reçus d’impôt correspondant.

Il est clair que tout surplus financier dégagé au titre de cette activité de jumelage sera affecté à des activités éducatives en RDC. Diku Dilenga s’engage à offrir un moyen (électronique, vraisemblablement) de suivi de l’allocation des dons. Bien sûr, cela ne sera pas individualisé, mais au moins il sera possible de suivre de quelle manière le budget global de cette activité est utilisé.

Échanges de courriers

L’acheminement de courrier (lettres et colis) au Canada, tel qu’offert par Postes Canada est sûr et rapide. Ce n’est pas le cas en RDC ou l’acheminement est lent et les colis se perdent, sans parler du système des adresses postales qui a de grandes lacunes.

Lorsqu’il s’agit d’échanger des courriers ou des colis, Diku Dilenga recommande d’utiliser les services du groupement Express Mail Service (EMS) dont fait partie Postes Canada avec l’offre Xpresspost International. Pour un coût moyennement élevé, le transport est assuré. En plus de l’adresse postale, si elle est disponible, il est important d’inscrire un numéro de téléphone pour que le correspondant EMS local contact le récipiendaire pour convenir des modalités de la livraison. Il faut aussi communiquer au correspondant le numéro du bordereau d’envoi pour qu’il puisse retirer le colis.

Pour limiter les coûts d’expédition, et donc favoriser des échanges plus fréquents, Diku Dilenga offre de prendre en charge le regroupement des courriers dans chaque pays, puis l’acheminement groupé par un service EMS, et enfin de la distribution dans le pays correspondant. C’est une pratique importante pour les congolais pour plusieurs raisons :

  • Parce que les enfants participant aux programmes de jumelage risquent d’être dans des villages dispersés pour lesquels la distribution par le service EMS s’avérera plus difficile.
  • Parce qu’il faut s’assurer que les bons enfants reçoivent les bons courriers, qu’il faudra peut-être les aider à lire et à bien comprendre cette correspondance.
  • Parce qu’il faudra les aider à rédiger à leur tour et prendre en charge les frais d’expédition.

Diku Dilenga comprend que cela peut induire des délais dans les échanges de correspondances, mais c’est l’assurance de leur acheminement qui nous apparaît le plus important. 

Pour ceux ayant des besoins distincts et souhaitant faire acheminer les courriers et colis par eux-mêmes, il y aussi les services de base pour la RDC de Postes Canada.

Échanges électroniques

À un moment, en fonction de l’évolution des services informatiques de Diku Dilenga en RDC, il est possible que les responsables congolais pourront se déplacer dans les écoles avec du matériel connecté à Internet.

Diku Dilenga pourra alors attribuer aux enfants congolais une adresse électronique a laquelle les enfants canadiens pourront envoyer des messages avec des illustrations. Les membres de Diku Dilenga s’occuperont d’imprimer ces courriers pour que les enfants puissent les garder. Le matériel multimédia sera soit accessible par chacun sur des ordinateurs, soit projeté dans les classes.

Au début de la relation de correspondance, ce n’est pas le medium que nous souhaitons favoriser parce que nous allons inviter les enfants canadiens, souvent plus riches, a expédier du matériel éducatif (crayons, gommes, cahiers, bloc-notes, etc.) aux enfants congolais, malheureusement plus pauvres.

À un moment, nous pensons que l’outil électronique nous permettra d’économiser sur les frais de transport, et que l’argent ainsi économisé pourra être investi dans du matériel pédagogique sur place.

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Objectifs du jumelage d’écoliers

Le jumelage d’écoliers vise plusieurs objectifs :

  • Ce doit être une activité ludique qui permette à des enfants de différents milieux d’échanger ;
  • C’est une excuse éducative : Le jumelage offre l’occasion concrète de découvrir un autre pays, une autre culture, une autre histoire ;
  • C’est un vecteur pour une sensibilisation accrue :
    • Du côté congolais, les parents voyant leurs enfants soutenus de l’extérieur, ne serait-ce que par l’accès à du matériel et des fournitures scolaires, seront encouragés à continuer à leur offrir l’éducation ;
    • Du côté canadien. les familles disposeront d’informations de première main pour poser des gestes significatifs sur leur environnement et sur le partage des richesses.
  • C’est l’occasion de déboucher sur des actions concrètes.

Il nous apparaît important que le jumelage se fasse directement entre des enfants, pas forcément au niveau des classes ou d’établissements scolaires. D’abord, nous pensons que la motivation dont doivent faire preuve les enfants est un premier gage de qualité. Nous voulons éviter que des enfants échangent n’importe quoi n’importe comment. Ensuite, la relation établie en dehors du cadre scolaire n’aura pas l’excuse du changement de classe ou d’école pour s’arrêter. Nous avons des témoignages de jumelages réussis et entretenus au delà d’une dizaine d’années, avec des voyages pour chacun des correspondants à la clé.

Diku Dilenga propose deux formules auxquels les enfants peuvent participer :

  • Une formule où l’établissement scolaire offre son support et ce sont des enseignants qui pilotent le projet auprès des enfants et qui l’intègre au programme scolaire;
  • Une formule où l’activité est para-scolaire et ce sont des membres de Diku Dilenga qui pilotent le projet auprès des enfants.
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